La langue française, ça vous dit quelque chose ?
« Je défendrai jusqu’à ma mort la pureté de la langue française. »
(François de Malherbe, sur son lit de mort, le 16 octobre 1628, à son confesseur, alors qu’une servante avait laissé échapper un solécisme.)
Nicolas Boileau dans son Art poétique (1674) louait celui-ci avec ferveur, commençant son éloge par le célèbre hémistiche "Enfin Malherbe vint".
Il n'est que de relire Malherbe, histoire de nous rappeler que la langue française a été celle de toutes les cours d'Europe
Bonne lecture, bon appétit et large soif, en n'oubliant pas le mot de Camus : ma patrie, c'est la langue française !
PS - Jean-Pol Baras, dans ses Carnets suggère à Steve Tenré - qui enquête dans le Figaro auprès d'usagers des comptoirs et d'habitués de bonnes tables - et de Gaël Brulé, sociologue spécialiste du bonheur, chercheur à l'Université de Genève, de se plonger dans la lecture de mon blog, www.toutnestquelitresetratures. Merci.